Les élus communistes de Creil dans les luttes

Emploi

Des élus avec vous, présents dans les luttes

Dans la dernière période vos élus communistes de Creil ont apporté leur soutien aux travailleurs de Nippon Paint Akzo-Nobel à Montataire, de Continental à Clairoix, à ceux de Edf-Gdf à Creil, à Sachs à Mouy où Habib Abba-Sidick, maire-adjoint, a rendu visite à plusieurs reprise aux salariés. Jean-Paul Legrand, Habib Abba-Sidick, Fadhila Kezzoul et Mohamed Assamti ont aussi apporté leur soutien aux services publics notamment aux enseignants et parents d'élèves contre la suppression des RASED et appuient l'action pour la défense de l'hôpital public.

La droite en défendant le capitalisme est responsable de la dégradation brutale de l'emploi. La crise ne tombe pas du ciel, elle résulte de choix engagés par les hommes et les femmes du grand capital et du pouvoir. Les élus de droite qui voulaient faire leur numéro politicien ont été interpellés par Jean-Paul Legrand, maire adjoint, à l'usine Continental de Clairoix. Les salariés leur ont fait comprendre qu'ils étaient indésirables et responsables de la situation. Les élus de droite ne sont pas restés longtemps et ont du partir sous les huées des travailleurs.

Depuis les "Conti" mènent une lutte exemplaire soutenue par la population. Poursuivons la solidarité avec eux et tous les salariés qui engagent des actions pour l'emploi, la défense de leur entreprise, l'avenir de notre région et de notre pays !

Lundi 16 mars à 18h30 à l’usine Continental de Clairoix : Jean-Paul Legrand, maire-adjoint PCF de Creil a interpellé Mmes Cayeux, maire de Beauvais et Du Granrut, conseillère régionale.

L’élu de Creil leur a soumis la proposition du PCF de faire voter par l’assemblée nationale une loi contre les licenciements dans les entreprises qui font des bénéfices. La vidéo de cette rencontre singulière se trouve sur Dailymotion et a été vue par plus de 8000 internautes. (voir ci-dessous ou taper dans le moteur de recherche " Dailymotion élus UMP continental")

Les deux élues de droite se sont défilées en expliquant que cela n’était pas de leur ressort et se sont bien gardées de se prononcer sur la proposition devant un groupe de plusieurs dizaines d’ouvriers qui ont scandé « Il faut une loi contre les licenciements ! »